jeudi 28 octobre 2010

J'ai chu, chi j'avais chu...


Mais qui est l'imbécile qui à tiré une ligne verte qui va de Dunkerque à Barcelone ???
Je me suis pris les pieds dedans et me suis ramassé. J'espère ne pas l'avoir coupée...
Elle passe par Cavanac, ainsi qu'à Talmas, là où je me suis marié, à Beauval, près de chez Papa et à Saint Ouen d'où vient ma Rose chérie.

jeudi 21 octobre 2010

Les Justices...






Petite rando sur une colline qui domine Cavanac à 288 mètres d'altitude.
D'un côté les pyrénnées avec Limoux, de l'autre la montagne noire et la citè et enfin la montagne d'Alaric vers Narbonne et la mer. Le petit village c'est Cavanac.

Quand je pense que
le point culminant au Danmark, situé à Yding Skovhøj dans l'est du Jutland, qui, entre nous soit dit, est la plus belle région du pays d'ailleurs, est de 173 mètres.

lundi 27 septembre 2010

Petite rando



Petite randonnée, deux heures et demi quand même, derrière Cavanac, où j'ai croisé des chenilles (c'est la seule qui a bien voulu se laisser photographier), des chasseurs de sangliers, peu-être des sangliers, j'ai vu des traces...
J'ai vu également du thym, du romarin et des arbousiers... Tiens c'est drole je pensait pas qu'il y avait des arbouses dans la région.
Le temps était maussade mais c'était sympa quand même.

mardi 21 septembre 2010

Pas très moine 2...

Les démons de Cavanac

Cantonnés à l'extérieur de l'église la représentations des démons...

Satan, en bélier, ou en bouc...


La fille de mauvaise vie



Paf, paf, paf le louuuuup...



Celle-là je sais plus...



et lui non plus !

Mais le pire est résté à l'intérieur, c'est le curé pédophile...

lundi 20 septembre 2010

Pas très moine...




J'en ai profité de ces journées du "Pas très moine" pour visiter ce lieu de culte d'une des sectes du Christianisme, l'église de Cavanac, site classé mais n'offrant pas grand intérêt, si ce n'est qu'à une minute à pieds de chez nous.

mercredi 15 septembre 2010

La via férata de Cavanac...




Elle n'est pas longue, elle n'est pas dure mais je suis sure que Rose ne s'y risquerait pas...

vendredi 10 septembre 2010

Le brigand de Cavanac





" Lui, au moins, il n’a tué personne !
Au fond, on l’a poursuivi
mais il n’a rien fait de grave ! "


Si vous évoquez l’Antougnou devant des habitants de Cavanac, la localité dont le brigand ainsi surnommé était originaire, c’est là ce qu’à coup sûr on finira par vous rétorquer. Le souvenir de ce personnage, disparu depuis un siècle et demi, n’a jamais été aussi vivant dans la mémoire des habitants actuels du " vieux village ". Et pourtant, s’il n’était aussi présent dans les récits transmis de génération en génération, que nous resterait-il de son histoire ? Les archives judiciaires retraceraient pour l’historien le piètre destin d’un homme, un petit propriétaire, confronté aux malheurs d’une terne existence. Des parents querelleurs qui se déchirent puis se séparent, une mère à l’esprit dérangé, internée sur ordre de l’autorité municipale, s’installant avec son fils devenu adulte dans une sourde violence. Pierre Sourgnes, c’est son nom, échappe un temps à l’étouffante atmosphère familiale : on le retrouve conscrit à Ferrals des Corbières. Deux ans plus tard, roulier à Béziers, il est condamné à deux ans d’emprisonnement pour coups et blessures, après qu’un procès-verbal a été dressé contre lui, par le maire de son village natal, pour mauvais traitements envers sa mère.

Une fois sa peine purgée, à Nîmes, en 1831, il retourne dans son pays qu’il ne quittera plus jamais. Commence alors pour lui, non pas l’existence paisible d’un petit propriétaire, mais la vie errante d’un solitaire. " Chez lui ", ce n’est pas dans la maison où s’est perpétuée la suite des générations qui avec lui s’achèvent, " chez lui " c’est dans les vignes qui entourent le village, dans les collines de la Malepère, autour de Carcassonne, dans les premiers contreforts des Corbières, vers Mas des Cours, où il établit sa résidence nocturne, de garrigue en garrigue. Abandonnant parfois les hauteurs, il hante le village et les campagnes alentour, dérobant un peu de linge et de la nourriture. En 1840, son destin se précipite. Sa mère est retrouvée morte. Les rumeurs vont bon train. L’Antougnou descend de ses collines pour frapper qui l’accuse. Condamné à des peines de prison, celui dont la réputation de sauvage solitaire ne cesse de grandir échappe par deux fois à la Justice, d’une manière rocambolesque rapportée en détail par les journaux. Il épouse alors son rôle de bandit. Armé jusqu’aux dents, il menace de mort qui lui déplaît. Il lui arrive même de tirer. Pour ces seuls faits, et non pour la mort de sa mère dont il est absous, il est condamné par contumace à la peine de mort, à l’exécution par effigie, à la séquestration de ses biens. Le 24 octobre 1841, Pierre Sourgnes, dit l’Antougnou, est tué au creux d’un chemin par un tailleur et son frère. Un mois plus tôt, il leur avait dérobé une montre.
Prenant le relais de la Justice, la presse s’acharne sur le délinquant : [le pays tremblait] au nom d’un seul homme, comme on tremble quand on est exposé à devenir la victime d’un fléau dévastateur. On ne demandait qu’avec crainte des nouvelles de l’homme de Cavanac, et, dans ce village surtout, on ne s’entretenait qu’à voix basse, dans le secret des familles, de Pierre Sourgnes, l’effroi du pays. ". Les deux tailleurs n’ont pas délivré la contrée d’un homme mais d’une bête sauvage : " Le cadavre de Sourgnes était effrayant à voir, ses membres étaient dans la même position...

Une de ses jambes était pliée en deux ; dans l’attitude où il était, il semblait vouloir lutter encore. Son crâne était entrouvert, ses lèvres contractées, ses dents serrées, les yeux hors de leurs orbites ; c’était le cadavre d’un monstre dont le pays est délivré par deux hommes courageux. "
La tradition locale prendra l’exact contre-pied de ce tableau sanglant. On raconte, encore aujourd’hui, la mort de Pierre Sourgnes comme un crime commis sur la personne d’un brigand familier, homme fort paisiblement endormi au pied d’un figuier à l’heure méridienne. Ses excès étaient ceux de la jeunesse du pays et les vols de nourriture un maraudage rituel. Seule la rigueur aveugle de l’autorité de l’époque a précipité un destin individuel dans le drame. Le hors-la-loi était bien intégré dans sa communauté. À en croire ses actuels compatriotes, ses soi-disant rapines n’étaient que des invitations un peu forcées : " Vous savez, même s’il s’invitait à dîner... Eh bien ! Les gens autrefois s’invitaient à dîner ! Mon grand-père le faisait quand il arrivait quelqu’un. Il était sorti de Villefloure et quand un de Villefloure venait habiter à Cavanac, le premier repas il le faisait chez mon grand-père. C’est pas extraordinaire. On dit même qu’un invité en amène un autre. Alors pourquoi pas lui qui avait faim, qui avait rôdé... " L’affaire est entendue. Le terrible bandit n’est qu’un brigand un peu fruste, victime de l’injustice de la Justice et qui n’a jamais terrorisé que ceux qui se sont acharnés contre lui.
Mais, si l’insaisissable personnage a pu être ainsi reconnu comme un des leurs par les siens, il a fallu un événement, où du moins un point d’accroche pour que le bandit ne sombre pas à tout jamais dans l’oubli où sont précipités les simples malfaiteurs : dans les documents d’époque, rien ne laissait soupçonner une sympathie particulière pour " le triste héros ". Ce point d’accroche, c’est d’abord une image, un portrait lithographié. Gamelin, le fils du célèbre peintre, a immortalisé par son dessin les traits et, surtout, l’attitude de l’Antougnou, en bandit-chasseur débonnaire.

Source :
http://www.editions-verdier.fr/v3/

http://www.editions-verdier.fr/banquet/97/n26/brigand1.htm

mercredi 25 août 2010

Caveaux et greniers bas...



Deux autres photos pour Kat

lundi 23 août 2010

Entre montagne et montagne...


A l'ouest la montagne d' Alaric...



... à l'est la montagne Noire.





Nous sommes à Bouillonac, petit village qui mérite bien son nom. Il y fait chaud, très chaud, et, bizarement, pas un pet de vent alors qu'il souffle dur à Cavanac.

samedi 21 août 2010

Not maison...



Notre petite maison vue d'une chambre de l'hôpital, tout proche...
Les gros bidons devant c'est notre rosé...

mercredi 18 août 2010

La Callebo




Callebo, un terme Occitan, intraduisible en langue française,
signifie "qu'il faut lever".
C'est un levier permettant de puiser l'eau d'un puit sans efforts.
Il y a une cinquantaine d'année quelques instruments de ce genre ornaient encore la bordure des puits dans les jardins potager. Ces leviers ancestraux ont peu à peu été détronnés par les motopompes.

vendredi 13 août 2010

lundi 9 août 2010

Saint Amour


Aujourd'hui c'est la Saint Amour, c'est également l'anniversaire de mon père.
Bon anniversaire Papa.

Carca




samedi 7 août 2010

Promenade autoue de Saint Hilaire.

En partant de Carcassonne...


Greffeil





Saint Hilaire



Bon, maintenant c'est l'heure de l'apéro, il est temps de rentrer...